Déférée au parquet de Kaolack (centre) pour mise en danger de la vie d’autrui, l’aide-infirmière a été remise en liberté à la suite d’une lettre de désistement du plaignant, ce jeudi. Elle avait déclaré le nourrisson mort en établissant un certificat de décès, alors qu’il était encore en vie. L’enfant est finalement décédé.
Bénéficiaire d’une liberté provisoire, elle sera jugée mercredi prochain par le tribunal de grande instance de Kaolack.